Une coopérative née de la volonté de 35 paysannes
35 femmes dont une institutrice, un président bénévole et Colibris sans frontières sont mobilisés pour ce projet de coopérative qui touche non seulement la création d'activité économique, mais aussi l'éducation des enfants du monde rural et la lutte contre l'analphabétisme.

Seul on va vite, mais ensemble on va plus loin ! Cet adage est l’une des motivations de cette solidarité naissante entre 35 femmes vivant à la campagne sud-marocaine, encouragées par quelques membres de leur village et l’association Colibris sans frontières.
Un projet XXL pour ce monde rural qui compte sur ses donateurs, en attendant d'obtenir le soutien d'institutions sensibles aux conditions des femmes et des enfants du monde rural.
Après avoir réalisé l’étude de leur projet, Abdelilah Eddial a entamé les démarches nécessaires auprès de plusieurs organismes, institutions et administrations, en quête de financements pour ce projet XXL dans ce monde coupé de la civilisation. Car, en définitive, ce sont 35 familles et leurs proches, dont plus de 20 enfants, qui seront positivement impactés par ce projet. Présidée par Houssine Wafi, un bénévole du village, une coopérative est constituée. Dans le prolongement du projet de production de pain, de denrées céréalières et de gâteaux, une école s’est également structurée pour assurer l’éducation des enfants. Rachida, l’institutrice du village, assure un enseignement le matin pour les jeunes et de cours pour adultes l’après-midi afin de lutter contre l’analphabétisme des femmes, notamment celles qui devraient assurer la gestion de la coopérative.
Le projet est en bonne voie et Colibris sans frontières espère convaincre assez de contributeurs pour en faire une véritable vitrine de réussite locale. Merci à toutes et à tous pour vos dons, votre adhésion et pour vos encouragements.